La cuisine des anges



Un soir de Noël à Cayenne. Une chaleur moite écrase la ville. Seuls résonnent les coups de marteaux de trois bagnard sur le toit.100-0085_img.jpg

Félix Ducotel, ancien directeur d’une galerie commerçante – « Les Galeries Ducotel » au Havre pour éviter la faillite, accepte l’offre de son cousin Juste Trochard – qui lui a racheté l’affaire – et par voie de conséquence de s’exiler à Cayenne avec sa femme Amélie et sa fille Isabelle, où il exploite en tant que gérant un petit commerce.
Les affaires vont mal, et Amélie et Félix Ducotel sont exaspérés pas les coups de marteau de trois bagnards qui réparent leur toit.
Amélie s’inquiète de la marche du commerce et craint à juste titre que le cousin Trochard ne leur retire encore ce gagne-pain, mais Isabelle semble être amoureuse de son cousin Paul, neveu de Juste… un mariage qui arrangerait tout !
Hélas, Juste, dans une lettre adressée à Ducotel, annonce qu’il arrive à Cayenne pour vérifier la bonne marche de l’affaire et, dans un post-scriptum, il précise qu’il a fiancé son neveu à une jeune héritière du Havre.
La lettre tombe dans les mains d’Isabelle qui s’évanouit au moment où les bagnards (sans oublier Adolphe, leur serpent-minute), descendus de leur toit  s’apprêtent à réintégrer leur prison. Ils secourent Isabelle qui veut se jeter dans la rivière et, de fil en aiguille, ils « vont prendre en charge » toute la famille 
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